vendredi 27 mai 2011

Un week-end chez Emerson et Thelma

Après avoir découvert ces merveilles que sont les chutes d'Iguazu. Nous répondons à l'invitation d'Emerson et Thelma, deux amis brésiliens rencontrés dans un camping à Arica, Chili. Lors de notre rencontre ils faisaient un périple en Amérique du Sud à bord de leur 4x4 camping car...


Après notre rencontre nous avons continué à correspondre ensemble et du coup nous voilà chez eux pour quatre jours dans la ville de Pato Branco.

A gauche Thelma et à droite Emerson.
 
Ici tous ensemble dans leur jardin.


Nous avons été reçu comme des rois durant ces 4 jours. La maison ainsi que son jardin étaient très jolis et confortables, nous avons également pu découvrir de la gastronomie brésilienne.



 


Après Cécile à Puerto Iguazu, c'est Hélène qui a fait la découverte de la faune locale.



La petite ville de Pato Branco

lundi 23 mai 2011

Les chutes d'Iguaçu côté brésilien

Après avoir vu les chutes côté argentin, le lendemain nous nous dirigeons du côté brésilien. Et là nous nous apercevons que nous en avons vu qu'une partie, il en restait encore...

Le côté brésilien offre une belle vue d'ensemble de ces dernières.


























































Les chutes d'Iguazu côté argentin

Nous sommes allés découvrir les chutes (le mot est faible) d'Iguazu en premier du côté argentin. Nous sommes arrivés dans un parc qui ressemble plus à une forêt qu'à un endroit où se déversent parmi les plus impressionnantes chutes du monde.
Nous parcourons donc le petit chemin en plein milieu de la forêt près à découvrir ces merveilles.




Au détour d'un virage à mesure que le bourdonnement des chutes s’amplifie, ça y est, on les aperçoit...



Et puis c'est parti, nous allons de chute en chute, nous admirons ces millions de litres d'eau qui se déversent sans arrêt.

































Et puis il a fallu remarcher sans voir de chutes...l'eau était devenue calme et silencieuse...






Puis au loin nous apercevons comme un gouffre d'où s'échappe une fumée blanche...










En effet nous étions arrivés au bout, à la gorge du diable...





































 










Mais bien évidemment le soir il a fallu rentrer...